Votre assurance empunteur

Faite des économies : votre assurance de prêt moins chère sans aucun changement de banque. 

Que vous souhaitiez assurer un nouveau prêt ou changer l’assurance d’un prêt en cours, je négocie pour vous la meilleure offre. 

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L’assurance emprunteur représente jusqu’à 30% du coût d’un crédit. Pourtant, seul 1 Français sur 5 négocie son assurance de prêt.

 

Quel est le rôle de l’assurance de prêt immobilier ?

L’assurance de prêt protège son souscripteur en cas d’imprévu. Dans le cadre d’un prêt immobilier, celle-ci prend en charge les mensualités en cas de maladie ou d’accident entraînant une perte de revenus, qu’elle soit temporaire ou définitive. Elle peut également intervenir en cas de décès, en remboursant le capital restant dû à la banque, évitant ainsi à la famille de l’emprunteur de supporter cette charge financière.

De plus, l’assurance peut couvrir les risques d’invalidité permanente ou de perte d’emploi, garantissant ainsi la sécurité financière de l’emprunteur et de sa famille tout au long de la durée du prêt. En résumé, l’assurance de prêt immobilier offre une tranquillité d’esprit essentielle en sécurisant l’avenir financier des emprunteurs face aux aléas de la vie.

 

Les garanties de l’assurance emprunteur

L’assurance emprunteur garantit la prise en charge de la totalité ou une partie des échéances de remboursement ou du capital restant dû d’un prêt immobilier en cas de survenance de certains événements. En cas d’aléa, l’organisme d’assurance prend le relais pour assurer le remboursement des mensualités de votre emprunt auprès de la banque.

Un contrat d’assurance emprunteur peut contenir des garanties contre les risques suivants :
  • Décès : L’assurance rembourse le capital restant dû, déchargeant ainsi les héritiers de cette responsabilité financière.
  • Perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA) : En cas d’incapacité totale à effectuer les gestes de la vie quotidienne, l’assurance prend en charge le solde du prêt
  • Invalidité permanente totale (IPT) : Lorsque l’emprunteur est définitivement incapable d’exercer toute activité professionnelle rémunératrice.
  • Invalidité permanente partielle (IPP) : Couvre les situations dans lesquelles l’emprunteur subit une réduction partielle, mais significative de sa capacité de travail.
  • Incapacité temporaire de travail (ITT) : Totale ou partielle, cette garantie intervient lorsque l’emprunteur est temporairement dans l’incapacité d’exercer son activité professionnelle.
  • Perte d’emploi : Certaines assurances incluent une garantie pour la perte involontaire d’emploi, permettant de maintenir le paiement des mensualités pendant une période définie.
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Combien coûte l’assurance de prêt immobilier ?

Trois critères sont déterminants pour le calcul de votre taux d’assurance de prêt immobilier :
  • votre âge;
  • votre état de santé ;
  • vos activités professionnelles et personnelles, notamment lorsqu’elles comportent des risques.
La quotité, c’est-à-dire le montant couvert par l’assurance, est également prise en compte.

Au total, l’assurance emprunteur peut représenter plus de 30 % du coût total de votre crédit. Selon votre profil, une assurance externe sera moins chère : il est possible de la personnaliser pour répondre à tous vos besoins. Néanmoins, selon votre profil, l’assurance groupe de votre banque pourra s’avérer la meilleure option. Il s’agit d’une assurance générique qui mutualise le risque des souscripteurs et qui s’adapte à la majorité des profils.

 

Comment choisir la meilleure assurance emprunteur ?

Sélectionner la bonne assurance emprunteur ne se résume pas à choisir l’offre la moins chère. Il faut trouver une assurance de prêt immobilier économique, mais qui respecte les critères d’équivalence des garanties. De plus, une offre d’assurance moins chère peut s’avérer moins adaptée à votre profil.

Je vous aide à trouver le meilleur taux d’assurance, ainsi que les garanties parfaitement adaptées à vos besoins.
 

 

Comment s’y prendre pour résilier son assurance de prêt ?

Plusieurs conditions doivent être réunies pour changer de contrat d’assurance de crédit immobilier, notamment l’équivalence des garanties. En d’autres termes, vous avez la possibilité d’opter pour une autre assurance de prêt si, et seulement si, le nouveau contrat présente le même niveau de garanties que le contrat initial.

Depuis 2012, le Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF) a établi une liste de 18 critères d’équivalence de garanties. Les banques doivent sélectionner 11 critères pour établir un contrat.

Les critères principaux

Les cinq premiers critères relèvent du devoir de conseil du distributeur d’assurance. Celui-ci doit garantir que l’emprunteur bénéficie d’une couverture adaptée pour toute la durée du prêt, et que les activités de l’assuré sont incluses dans les garanties suivantes :

  • Garantie Décès : Couverture en cas de décès de l’emprunteur.
  • Garantie PTIA (Perte Totale et Irréversible d’Autonomie) : Couverture en cas de perte totale d’autonomie.
  • Garantie Incapacité : Couverture en cas d’incapacité de travail.
  • Garantie Invalidité : Couverture en cas d’invalidité permanente.
  • Garantie sports amateurs : Couverture des activités sportives amateurs.

Les autres critères

  • Caractère indemnitaire ou forfaitaire de la garantie Incapacité/Invalidité :

Le caractère indemnitaire

Les contrats indemnitaires sont fréquemment choisis par les assureurs partenaires des banques. En cas de sinistre, ce type de contrat compense l’assuré en fonction de la réduction de ses revenus et des prestations sociales qu’il reçoit en dehors de l’assurance. Concrètement, plus les revenus de l’emprunteur diminuent, moins l’assurance couvrira le remboursement de son prêt.

Le caractère forfaitaire

Avec un contrat forfaitaire, l’assuré est couvert selon un pourcentage fixé au moment de la souscription. Ce type de contrat est avantageux, car il garantit un remboursement constant, peu importe les variations des revenus de l’emprunteur.

  • Délai de franchise :
Le délai de franchise est la période pendant laquelle l’assuré, bien qu’incapable de travailler, ne reçoit pas encore de prise en charge de la part de l’assurance. La durée de cette période varie selon les contrats. Certaines assurances de groupe proposent des franchises courtes, autour de 60 jours, souvent adaptées à des emplois précaires comme les activités non salariées. En revanche, les offres avec des délais de franchise plus longs, d’environ 180 jours, sont utilisées par les banques pour offrir des prix compétitifs face aux compagnies d’assurances externes.
  • Détermination de l’incapacité/invalidité par rapport à l’emploi :

Cette garantie précise si l’incapacité de l’assuré concerne « toute profession » ou seulement « la profession de l’emprunteur » au moment du sinistre. La seconde définition offre une meilleure protection, car elle couvre l’emprunteur même s’il exerce une activité différente au moment du sinistre.

  • Prise en charge en incapacité de travail même en cas d’inactivité :

Les conditions de cette garantie varient selon les contrats. Certains couvrent l’emprunteur, quelle que soit sa situation au moment du sinistre, tandis que d’autres ne l’appliquent que pendant les périodes d’activité professionnelle. Il existe aussi des contrats qui offrent une couverture partielle, souvent à hauteur de 50 %, si l’assuré est inactif lors du sinistre. Les périodes où la couverture est réduite ou inexistante peuvent fragiliser le crédit, car elles menacent la capacité de l’emprunteur à reprendre son activité et à rembourser son prêt.

  • Couverture des pathologies non objectivables dorsovertébrales et psychologiques :

Les contrats d’assurance varient dans leur traitement des pathologies non objectivables. Certains couvrent ces conditions sans restrictions, tandis que d’autres n’indemnisent que les pathologies pouvant être objectivement prouvées. Les exclusions de ce type sont fréquemment débattues, car elles peuvent être utilisées pour rejeter des contrats externes, même si elles concernent peu de sinistres. Bien que les incapacités liées à des pathologies dorsales soient courantes, les incapacités de plus de 90 jours, qui sont couvertes, sont rares. Les pathologies non objectivables incluent :

  • Les douleurs dorsales sans preuve de lésion
  • Les séjours hospitaliers ou chirurgies
  • Les fractures
  • Les tumeurs
  • Les troubles psychologiques sans hospitalisation

Le CCSF définit trois niveaux d’exclusion : sans conditions, avec hospitalisation de moins de 10 jours, ou de 10 jours ou plus.

  • Couverture des mi-temps thérapeutiques :

Cette garantie assure une prise en charge minimale de 50 % pendant au moins 90 jours pour les personnes en incapacité totale de travail. Elle permet de prolonger l’indemnisation lors de la reprise en mi-temps thérapeutique.

  • Couverture des invalidités partielles :

La couverture des invalidités partielles concerne généralement les incapacités évaluées entre 33 % et 66 % par un médecin-conseil de la Sécurité sociale. L’emprunteur reçoit une allocation partielle, car il est supposé continuer son activité rémunérée. Toutefois, cette couverture n’est souvent déclenchée qu’en l’absence de toute activité professionnelle, et est donc rarement utilisée.